Doctorat
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Item Les pratiques langagières des enseignants de français du cycle primaire diplômés de l'université d'El-Oued(2019) Miloudi, MounirCette étude met l'accent sur les conjonctures sociolinguistiques ayant un impact sur les pratiques langagières des enseignants de français du cycle primaire diplômés de l'université d'El-Oued exerçant dans la même région. Pour ce faire, nous nous sommes basés sur le questionnaire, la biographie langagière et l'entretien semi-directif comme outils d'investigations auprès dudit public enquêté. De cette étude, il s'est avéré que notre terrain d'enquête est un conglomérat de facteurs très hétérogènes et d'ordres divers : historique, géographique, culturel, psychologique, etc. Ces conjonctures sont intervenues et interviennent encore dans la structuration des pratiques langagières dans ledit milieu caractérisé essentiellement par une domination de l'arabe dialectal ; ce qui ne favorise pas une pratique langagière correcte en français et ce même pour les enseignants de cette langue dont les pratiques sont marquées par la valorisation d'une langue et la dévalorisation d'une autreItem Gender and the nation in the novels of ahlam mosteghanemi and ahdaf soueif(2019) Khireddine, Amel"Arab Nationalism" and "National Identity" have long been chief concerns in the Arab world. It goes without doubt that Western colonisation, which plagued most Arab nation-states, has the greatest impact on bolstering Arabs' nationalist sentiments and reformulation of national and communal identity. Although every Arab nation-state sets its own denominators for its foundation, shared history, religious moral values, and the Arabic language remain the indisputably revered national unifiers and signifiers of the Arab identity. Arab national discourse, outstandingly male-dominated, applauds these constituents which are supposed to stand for a homogeneous authentic Arab identity. Yet, while projecting man as the unsurpassed national hero, this discourse looks at women merely as the nation's boundary markers, as symbols or, at best, bearers and transmitters of national culture. However, with the advent of a feminist trend in the Arab world- a trend which coincided with the rise of nationalist resistance movements- iconic female figures staggeringly inscribed their names in the contemporary male-led Arab literary agenda. While being concerned with giving a voice to the silenced subaltern women, some of those postcolonial feminist Arab women writers go further towards reimagining a new construction of the national identity and community which undoubtedly disrupts the conventional definition of an Arab "imagined community". On those grounds, the present thesis, entitled Gender and the Nation in the Novels of Ahlam Mosteghanemi and Ahdaf Soueif, attempts to offer two different alternative feminist narrations of the nation which, in a way or another, counteract the Arab hegemonic patriarchal national discourses. By comparing and contrasting the writers' novels: Dhakirat al-Jasad and Fawda al-Hawas by the Algerian writer Ahlam Mosteghanemi and In the Eye of the Sun and The Map of Love by the Egyptian writer Ahdaf Soueif, I aim at demonstrating the extent to which those writers are conformists or not to the Arab conventional conception of national identity and community in its relation to gender politics. Though in her novels, Mosteghanemi seeks to reclaim a pure Algerian Muslim Arab national identity, she is certainly intent to speak out her heroine's female-self and cultural agency and hence her conformism is partial. Conversely, Soueif, in her artistic output, pushes aside all historical, moral and linguistic frontiers deemed to mark Arab national identity. Unlike her Algerian contemporary, Soueif's national map incorporates the Western Other while her pen draws unconventional scenes relating to Arab woman's sexualityItem Du contact aux conflits dans la gestion du plurilinguisme au sein des entreprises algériennes : cas de l'entreprise ENIEM(2019) Mokrani, LylaNotre travail s’inscrit dans le cadre de la sociolinguistique. Il s’inscrit précisément dans le cadre de la sociolinguistique urbaine qui décrit la relation entre les langues et les villes ainsi que l’effet qu’ont les unes sur les autres. De ce fait, nous avons ambitionné d’analyser les pratiques langagières des employés de l’ENIEM de Tizi-Ouzou, afin de comprendre la gestion du plurilinguisme et les conflits de langues au sein de cette entreprise. Pour ce faire, nous avons posé la question centrale suivante : Quels contact et conflits de langues, les employés de l’ENIEM ont-ils dans la gestion de leur plurilinguisme au sein de leur entreprise ? Pour répondre à cette question, nous avons supposé que dans la gestion de leur plurilinguisme, les employés de l’ENIEM ont des contacts de langues qui conduisent aux conflits de langues. Notre étude a adopté une approche qualitative étant donné que nous avons recouru à une étude de contenu en analysant les données des enregistrements récoltés lors des entretiens non directifs et des questions ouvertes du questionnaire. Nous avons également fait appel à une approche quantitative pour analyser les données du questionnaire notamment les questions fermées et mi-ouvertes. Notre corpus est donc constitué de cent vingt questionnaires remplis par les employés de la direction générale de l’entreprise ENIEM de Tizi-Ouzou, cinq entretiens non directifs et de deux grilles d’observations : Une est destinée pour les directeurs et les dirigeants, et une autre pour les employés. Après vérification des résultats, nous sommes parvenue à conclure que, dans la gestion de leur plurilinguisme, les employés de l’ENIEM (ceux de notre échantillon) recourent à la langue première (appelée le zeddi mouh) et au français même en contexte formel. Ce qui exclut et minorise l’arabe standard (pourtant langue nationale et officiellement utilisé dans les administrations algériennes)