Caractérisation de la relation chémotypes de l’ortie- bactéries vectorisées associées et évaluation de leurs activité sur culex sp

dc.contributor.authorToubal, Souheyla
dc.date.accessioned2018-07-09T07:01:49Z
dc.date.available2018-07-09T07:01:49Z
dc.date.issued2018
dc.description121 p. : ill. ; 30 cmen_US
dc.description.abstractLe présent travail s’articule autour de deux axes, l’un porte sur la mise en évidence d’une éventuelle corrélation entre les différentes bactéries endophytes associées à la Grande ortie et la synthèse des métabolites secondaire, et l’autre sur l’évaluation de l’activité insecticide des extraits de la plante récoltée à Dellys (UDD) et à Tlemcen (UDT) contre les larves de moustique C. pipiens L. Divers bactéries endophytes ont été isolées à partir des tiges, des feuilles et des racines de la Grande ortie en adoptant la méthode décrite par Arnold (1999), Rubini et al. (2005), et El Deeb et al. (2013). L’identification des bactéries endophytes a été effectuée par des examens macroscopiques, microscopiques, biochimiques et confirmée par MALDI-TOF MS. Il s’agit de Bacillus pumilus-ME, Bacillus anthracis, Bacillus megaterium, Bacillus cereus, Escherichia coli, Pantoea agglomerans, Enterobacter amnigenus, Paenibacillus lautus, Paenibacillus glucanolyticus, Staphylococcus cohnii et Enterococcus faecium. Par ailleurs, les tests du screening phytochimique ont fait ressortir une répartition hétérogène des métabolites secondaires dans les différentes parties de la même plante (tiges, feuilles et racines). L’analyse de l’association bactérie-plante a révélé une relation entre la présence de certains endophytes et les métabolites secondaires synthétisés par la plante. En effet, la synthèse des leuco-anthocyanes, saponosides, alcaloïdes, coumarines, glucosides, mucilages, anthocyanes, tanins, tanins catéchiques, sénosides, et flavonoïdes est induite par les bactéries du genre Bacillus. Celle des quinones libres est provoquée par la présence de bactéries du genre Enterococcus, Enterobacter, Staphylococcus et Pantoea. Pour les deux régions, une meilleure activité larvicide effectués sur les larves L2 et L4 de C. pipiens L. a été obtenu pour l’extrait d’UDT (DL50UDD= 8,05 mg/ml, DL50UDT= 6,16 mg/ml après 24h de contact). Par ailleurs, les alcaloïdes d’UDD ont montrés une activité insecticide modérée sur les larves L4 (DL50 alcaloïdes= 6,91 mg/ml après 48h de contact). En revanche, pour les flavonoïdes d’UDT, la meilleure activité insecticide est attribuée à EAE (DL50 EAE= 0,31 mg/ml), suivi de EED (DL50EDD = 0,61 mg/ml), puis EB (DL50 EB= 1,84 mg/ml) et enfin à la fraction EA (DL50 EA= 8,89 mg/ml) (p<0,05). En conclusion, la présente étude suggère que la Grande ortie peut être une source puissante de métabolites secondaires, une niche de plusieurs bactérie endophytes et présente une bonne alternative de lutte biologique, économique et moins nocif sur l’environnementen_US
dc.identifier.urihttps://dspace.univ-boumerdes.dz/handle/123456789/4914
dc.language.isofren_US
dc.subjectAlcaloïdesen_US
dc.subjectLutte biologiqueen_US
dc.subjectFlavonoïdesen_US
dc.titleCaractérisation de la relation chémotypes de l’ortie- bactéries vectorisées associées et évaluation de leurs activité sur culex spen_US
dc.typeThesisen_US

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