Racisme et discours subversif dans Pleure, Ô pays bien aimé de Alan Paton

Abstract

Le mythe africain a toujours connu une image aberrante de sa condition en tant qu’être humain. Cette humiliation a émergé jusqu’à nier sa présence dans l’histoire en prétendant qu’il n’a point participer dans l’évolution du monde en évoquant son incapacité à gouverner son pays. C’est dans cette pensée que notre recherche installe ses démarches d’études postcoloniaux. Dans pleure, o pays bien aimé, Alan Paton prend sa plume et dresse devant son lecteur un nouveau constat sur la littérature africaine, en se penchant sur l’être face au régime politique ; l’apartheid, on se perçoit dès la première lecture, que le narrateur donne un nouveau souffle pour le personnage africaine un être d'une bonne volonté et modestie, et que le narrateur est persuadé que les deux races vivent une forme de mal être réciproque , l’homme noir se retrouve en deuil à cause des effets de l’apartheid sur sa terre en revanche l’homme blanc subi en parallèle cette souffrance dans une autre forme en réaction de l’oppression du a la colonisation . Et au final, cette œuvre déclenche un déclic qui incite vers la paix en détruisant les stéréotypes et les préjugés hérités par le colonisateur